Après deux années de nomadisme rythmées par une présence en force dans des foires internationales, The Bridge Gallery, portée par les scènes contemporaines africaines et diasporiques, ouvre son espace permanent à Paris, au 19, rue LouiseÉmilie-de-La-Tour-d’Auvergne, dans le 9e arrondissement, en lieu et place d’une ancienne agence de design transformée en galerie de 30 m2 .
Ses jeunes co-fondateurs et co-directeurs Alexandre Fabry et Vianney Salzac (26 et 27 ans) se sont connus alors qu’ils étaient étudiants en management à l’université de Warwick en Angleterre, avant de poursuivre tous les deux un master à l’ESCP. Passionnés d’art depuis toujours, ils se sont orientés vers l’Afrique en découvrant le travail du photographe ghanéen Sarfo Emmanuel Annor. « Nous avons voulu jeter un pont - bridge (en anglais) - d’où le nom de notre enseigne, à la fois entre les cultures et les publics, et aussi entre les artistes de différentes générations et entre les talents émergents et les plasticiens confirmés », lance Alexandre Fabry.
Faisant fi de la crise, à l’heure où plusieurs galeries mettent la clé sous la porte, leur ancrage parisien est « une étape logique dans notre développement. Nous ne sommes pas guidés par la conjoncture économique. Nous voyons le ralentissement du marché comme une opportunité pour les jeunes galeries. Notre mission est de soutenir et de défendre les artistes avec lesquels nous travaillons, surtout dans ces moments où les collectionneurs sont plus prudents », explique Vianney Salzac. Quant au choix de s’installer dans un quartier un peu excentré des habituels regroupements de galeries… « Notre localisation, entre Montmartre et le Marais, relie deux pôles artistiques emblématiques de Paris, tout en attirant une population diverse et curieuse qui nous a d’ailleurs fait un chaleureux accueil », répond-il.
Leur exposition inaugurale réunit trois artistes sud-africains : les pièces textiles de Bulumko Mbete, les œuvres textuelles de Dale Lawrence et les photographies de Johno Mellish. Parallèllement, en 2025, la galerie poursuivra sa stratégie de développement via les foires : 1-54 Marrakech, Cape Town Art Fair, Zona Maco (Mexique), avant Art Paris.
Ses jeunes co-fondateurs et co-directeurs Alexandre Fabry et Vianney Salzac (26 et 27 ans) se sont connus alors qu’ils étaient étudiants en management à l’université de Warwick en Angleterre, avant de poursuivre tous les deux un master à l’ESCP. Passionnés d’art depuis toujours, ils se sont orientés vers l’Afrique en découvrant le travail du photographe ghanéen Sarfo Emmanuel Annor. « Nous avons voulu jeter un pont - bridge (en anglais) - d’où le nom de notre enseigne, à la fois entre les cultures et les publics, et aussi entre les artistes de différentes générations et entre les talents émergents et les plasticiens confirmés », lance Alexandre Fabry.
Faisant fi de la crise, à l’heure où plusieurs galeries mettent la clé sous la porte, leur ancrage parisien est « une étape logique dans notre développement. Nous ne sommes pas guidés par la conjoncture économique. Nous voyons le ralentissement du marché comme une opportunité pour les jeunes galeries. Notre mission est de soutenir et de défendre les artistes avec lesquels nous travaillons, surtout dans ces moments où les collectionneurs sont plus prudents », explique Vianney Salzac. Quant au choix de s’installer dans un quartier un peu excentré des habituels regroupements de galeries… « Notre localisation, entre Montmartre et le Marais, relie deux pôles artistiques emblématiques de Paris, tout en attirant une population diverse et curieuse qui nous a d’ailleurs fait un chaleureux accueil », répond-il.
Leur exposition inaugurale réunit trois artistes sud-africains : les pièces textiles de Bulumko Mbete, les œuvres textuelles de Dale Lawrence et les photographies de Johno Mellish. Parallèllement, en 2025, la galerie poursuivra sa stratégie de développement via les foires : 1-54 Marrakech, Cape Town Art Fair, Zona Maco (Mexique), avant Art Paris.